Il semblerait que » le monde » ait une mémoire courte ou bien alors tout à fait sélective.
Comment est il possible qu’en matière de sauvegarde, de » chouchoutage » de notre planète nous ayons complètement oublié les bons gestes ?
» Le monde » savait pourtant il y a encore 70 ou 80 ans, que la voiture pollue, que l’alimentation est la base de notre santé, que les cosmétiques ne sont bénéfiques que quand ils sont propres…et même, quelques années plus tard, que le nucléaire tue la planète.
Pourtant toutes ces industries, (automobile, agroalimentaire, pharmaceutique et nucléaire) se sont développées à n’en plus finir. Au point de devenir LES super puissances mondiales uniquement tournées vers leurs buts économiques.
Rien de nouveau dans ces constatations, si ce n’est qu’il est bon de se remémorer, puisque » le monde » ne le fait pas, que nos grands parents avaient des solutions, ou plutôt n’avaient pas ces problèmes.
Nous avons aujourd’hui tout un tas de questions à solutionner, tout un tas de sommets à organiser, tout un tas de réflexions à mener, pour sortir de problèmes que nous nous sommes nous même causé et dont ils peuvent nous mener à notre perte.
Car si certaines solutions peuvent sembler évidentes (des énergies non polluantes possédant un fort rendement existent d’ors et déjà comme le moteur à électrolyse ou les éoliennes) les intérêts financiers y sont bien moins importants que dans l’industrie du pétrole ou celle de l’énergie nucléaire. Bien qu’il soit vrai que cette dernière énergie nous permette un coût électrique relativement bas. (Appelé tout de même à augmenter.)
On peut pourtant, en ce moment même constater à quel point le prix de » l’électricité bon marché » peut être élevé lorsqu’il se produit un dysfonctionnement dans le système.
Tout ceci pour dire que les temps devraient être à la préservation de cet environnement fabuleux et riche qui est le nôtre et non à sa ponction tant et plus chaque jour.
Même si certains devaient y voir la préservation de leur futur économique, l’idée commencerait au moins à faire son chemin.
Article rédigé par Une créatrice de contenu
0